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L’auvergne et ses Volcans !

Un bien bel endroit pour mettre à contribution le matériel photo.
une fois de plus le EZ-18-180 confirme bien mais attentes.
à suivre…

L’auvergne et ses Volcans.

Nous avons eu la chance de pouvoir « profiter » d’un temps changeant, du coup les effets de lumiére étaient bien présents.
Le ciel en colére, le soleil plein Zénith et les ombres offertes par le lever et coucher du soleil.
Mais la météo, n’est rien sans un paysage adéquate. C’est là que nous découvrons les magnifiques reliefs de ce pays.

Dans l’album « Les Monts » (Echantillons de Photos), nous visitons certains points de vue du Puy des Gouttes, par temps couvert, Le Puy de dôme sous un soleil radieux, l’occasion au sommet de ce dernier (1420 métres), de saisir également de superbes clichés de pilotes pendus à leur voile.

Le relief n’est pas le seul intéret que l’on trouve à l’auvergne, certains villages, « pittoresques » m’ont donné l’occasion de laisser libre cours à mon imagination et surtout mes envies.
C’est ainsi que l’idée me prit de remonter le temps muni de mon appareil photo.
Certains extraits de l’album ci-dessous intitulé « Pierre de feu », mettent en avant une certaine vision de la région avec un oeil ancien.
– Une montée judicieuse en sensibilité ISO, afin de reproduire le grain propre à la photographie argentique d’antan.
– Sélection du rendu monochrome avec application d’un filtre jaune.
– Pour finir, un petit tour du côté de Paint Shop Pro (Derniére mouture X3), afin d’appliquer si besoin un peu d’effet de profondeur de champ sur les éléments à mettre en évidence ou encore un effet de vignetage. Ce dernier terme désigne la perte de lumiére en périphérie de l’objectif. Si aujourd’hui les meilleurs zooms, sont exempts de ce défaut, ce dernier était en revanche bien présent, du temps des débuts de la photo et caractéristique des photographies anciennes.

Comme je le citais plus haut, ce fût une nouvelle occasion de mettre à l’épreuve mon fameux EZ-18-180. Un contrat bien rempli, car une fois de plus la polyvalence de cet objectif ainsi que sa compacité me permirent de l’enmener sur les parcours où il était préférable de voyager léger tout en prenant malgré tout, de bien belles photos (La Prairie, Le Bourg, Le vieux Volcan etc…).
Certe, ce dernier ne pouvait se montrer aussi à l’aise que le ED 50-200 f2,8, lors des photos de parapentes mais tout a ces limites, pour qui souhaite un peu plus d’éxigence.
Sur ce dernier point, il est certain que je reste toujours aussi admiratif du rendu et du piqué des images que me livre ce ED 50-200.

Ce séjour fût également l’occasion de marquer l’utilisation de mon autre Boitier, le E500.
Pour rappel, ce boitier, qui date de 2005/2006, n’a pas à roujir, face aux modéles du moment.
Les 8 mégapixels (Capteur de 8,4 mp) de ce dernier accompagnés d’un objectif de qualité (ED 12-60 f2,8) conviennent sans aucun doute à la majorité des situations et permettent de trés beaux agrandissements.
Je maintiens donc cet avis de prés de 10 ans, comme quoi, avoir un beau capteur n’est rien, si le « cailloux » au travers duquel il regarde ne vaut rien (Nostalgie de mon premier A.P.N. OLYMPUS, le C920Z de 1,3 Megapixels).

 

J-Mi.

Les Monts

 

Pierre de Feu

Le Petit Oiseau.

Petite Histoire de la Photographie Numérique

 

10 ans déjà.

Les débuts de la photo numérique, sont apparus voila un peu plus de 10 ans.
Si aujourd’hui ce mode de photographie est connu de tous, il faut se souvenir qu’à l’époque, ces appareils n’occupaient qu’une place marginale dans le commerce.

On se souvient des modèles équipés à l’époque de capteurs de 360 000 Pixels mais l’intérêt pour cette technologie,  commença à prendre un vrai sens avec les premiers appareils, équipés de capteur de 800 000 et 1 300 000 Pixels (On était loin des 8, 10 ou 12 Méga-pixels que nous connaissons aujourd’hui !!!!!).

Le déclin de l’argentique.

Autant rappeler qu’à l’époque, le plus puriste des photographes, avait du mal à imaginer qu’un jour, viendrait où il remplacerait son bon vieux Reflex 24×36 Argentique par un appareil photo numérique.
Seul quelques nostalgiques et/ou professionnels, continuent d’utiliser en parallèle un appareil Argentique. Cela concerne en majeure partie les photos en Noir et Blanc, pour lesquelles les appareils numériques, ont dans certains cas du mal à imiter leurs « ancêtres ».

Du nouveau.

Contrairement à ce que prétendaient les nombreux détracteurs de la photographie numérique à l’époque, les modèles de 1 300 000 Pixels, permettaient déjà des tirages d’excellente qualité en 10/15 et certaines prises de vue pouvaient s’envisager jusqu’au format A4.
Ces appareils, ont donné lieu à une approche fondamentalement différente de la photo.
En effet, pour la première fois dans l’histoire de la photo, le photographe pouvait visualiser en instantané, ces différentes prises de vue et ainsi varier les différents réglages que permettait l’appareil.

Avec l’argentique, la majorité des utilisateurs faisaient développer leur pellicule chez le photographe du coin, sans possibilité de retoucher leurs clichés avant.
Seul les professionnels et Passionnés Experts en photo, possédaient leur labo de développement et pouvaient apporter certains effets à leurs « chefs d’œuvres ».
Avec le numérique, ici encore, tout change. Vous récupérez votre photo au format JPEG, TIFF où bien encore RAW, et à l’aide du logiciel de retouche adéquate, vous Coupez, Gommez, Corrigez la Teinte, etc… avant de décider de faire développer votre cliché.

De nos jours, les photos peuvent toujours être développées chez le photographe mais la pluparts du temps, ce sera sur une borne de supermarché ou bien encore par le biais d’internet, que nos tirages seront traités.

Les Types d’appareils, les Capteurs, les Formats.

On distingue trois catégories essentielles d’appareils.

– Les compacts, les plus répandus.

– Les bridges, à mis chemin entre le compact et le reflex, ces derniers, disposent de zooms souvent plus puissants et de fonctions plus évoluées, telles que le choix de réglages manuel ou semi-auto avec priorité à l’ouverture, à la vitesse, etc…

– Les Hybrides; les avantages d’un Reflex et ceux d’un compact réunis. Premiers modèles apparus sur le Marché équipés de la gamme d’objectif µ4/3.

– Les Reflex, de plus en plus convoités car ils permettent l’accès à des capteurs plus grands, la visée directe à travers l’objectif, à des fonctions plus évoluées ainsi qu’à une large gamme d’accessoires complémentaires (Objectifs, Flash, poignée Grip, etc…)

Les capteurs qui équipent les appareils d’aujourd’hui, sont les suivants :

CCD : Le plus rependu; ce type de capteur équipe la majorité des appareils compacts.

CMOS : Technologie qu’on retrouve sur certains Bridges et Reflex.

Live MOS : Technologie développée et mise au point par Fuji et Olympus et qui équipe les derniers Reflex de ce dernier.

Deux Format deux prise de vue se partagent le marché de la photo numérique ; le 4/3 et le 3/2 mais attention de ne pas confondre le format proportion de prise de vue et le format du capteur, car il existe en effet plusieurs formats de capteur :

Les Formats 1/2,5″, 1/1,8″, 1/1,7″, 1/1,6″ et 2/3″ sont les formats les plus répandus, car ce sont ceux qui équipent la majorité des compacts, ces derniers permettent alors de reproduire des photos au format 4/3.

Le Format 4/3 (18/14) « Four Third »  est le Format retenu par Panasonic et Olympus et qui équipe également les Reflex de cette dernière marque. Dans ce cas aussi, les photos ont effectivement un format équivalent 4/3.

Le Format DX (16×24) « APS-C »; on le retrouve sur les Reflex Amateurs et Experts du type Nikon, Canon, etc… ce dernier donne lieu à des photographies au format 3/2.

Le Format FX (24/36) « Full Frame »; on le retrouve sur les Reflex Experts et Professionnels. Ce format donnant naissance à des photos au format 3/2, est l’équivalent du 24×36 argentique et offre donc une meilleure compatibilité avec les objectifs de ce dernier type d’appareil, ainsi que et surtout, une bien meilleure qualité d’image (Pour les plus avertis).

Particularité du Format de Capteur 4/3 cher à Olympus :

Le format 4/3 a été défini par quelques industriels japonais, il y a déjà quelques temps.
– Eastman Kodak Company
– Fuji Photo Film Co., Ltd.
– Leica camera AG
– Matsushita Electric Industrial Co., Ltd.
– Sanyo Electric Co., Ltd.
– Sigma Corporation
– Olympus Imaging Corp.

D’une manière générale, ce format part du constat qu’il valait mieux mettre tout ce que l’on connaissait de la photo à plat et partir de zéro, plutôt que de simplement tenter d’adapter le matériel argentique existant (Objectifs essentiellement) à la technologie numérique.

–> Le ratio des côtés du capteur (4/3 donc comme sur les compacts alors que les reflex des autres marques sont en 3/2, format hérité du 24×36)

–> La baïonnette (plus petite puisque le capteur est plus petit que les capteurs de taille APS (Voir Tableau ci-dessus).

–> Des objectifs spécifiquement conçus pour la photo numérique. En version courte, l’angle d’incidence des rayons de lumière sur un film négatif, n’affecte pas la qualité de la photo. Par contre un capteur constitué de millions photosites, attend des rayons perpendiculaires à sa surface. Si avec un téléobjectif classique d’origine argentique, cela ne pose pas de problème, il n’en va pas de même avec un grand angle.
Cela permet de mieux comprendre les problèmes qu’ont les capteurs 24×36 travaillants avec des grands angles de seconde qualité et qui donnent lieu à des bords de photos très altérés.
Contrairement à l’autre solution retenue par certains fabricants, le format 4/3 correspond à la conception d’objectifs qui autorisent, quelle que soit la focale, que les rayons arrivent en position perpendiculaire sur le capteur.

Autre Source : http://www.olympus.fr/consumer/dslr_7045.htm
En Finale.

L’avènement de la Photo Numérique, aura permis et permet toujours à beaucoup de personnes de s’ouvrir à cette passion qu’est la Photographie, en rendent cette dernière beaucoup plus accessible.
Imaginez réaliser des essais avec différents réglages iso, ouverture, vitesse avec un appareil argentique !! J’en connais plus d’un que cela découragerait, alors qu’avec le Numérique……….

J-Mi.

 

 

David… un Moment d’égarement Photo… ;)

David a découvert la photo numérique en 2002, aprés l’acquisition de son premier appareil photo numérique, l’olympus C920Z.
Il fait partie de ces personnes, qui ne veulent pas s’encombrer d’une tonne de fonctions sur leur appareil… il faut aller droit au but… être efficace, réglage au Maximum de l’ISO, et de l’ouverture et appuyer sur le bouton pour prendre le cliché.
Il fonctionne à l’intinct et photographie ce qui l’inspire.
On dit souvent que l’appareil ne fait pas le photographe et les photos qui suivent illustrent parfaitement cela… seul le talent parle.
Le résultat est sans appel et j’aimerais bien être celui à avoir réussit de si beaux clichés.

Merci David pour ces magnifiques photos.

J-Mi.

Bord de mer.

Olympus E420 avec son objectif de base, le 14/42.

Concert.

Olympus E420 avec son objectif « télé », le 45/150.

EZ18-18 Un nouveau « Cailloux » pour la Photo !

La plus part des amateurs en photographie, s’équipent souvent de deux objectifs; un qui permet des prises de vues en grand angle et un second permettant de viser loin.
Ainsi on retrouve chez Olympus dans la gamme d’objectifs « Standard », le ED 14-42 (Equivalent 28-84mm) et le ED 40-150 (Equivalent 80-300mm). Ces deux ojectifs sont trés souvent proposés en kit lors de l’achat d’un boitier.
Seulement voila, il arrive parfois que certaines sorties en extérieur ne permettent pas de s’encombrer des deux objectifs dans le sac, sans compter le risque que l’on prend lors de l’échange de Zoom, dans de mauvaises conditions.
Il existe donc aussi chez tous les fabricants, une gamme d’objectifs appelés « Transtandard » qui autorise donc à la fois la prise de photos en grand angle « moyen » et en télé-objectif.
Chez Olympus, le EZ-1818 situé dans la gamme d’objectif « Standart », permet une plage de zoom allant de 18 à 180 mm (Equivalent 36-360 mm).

C’est donc de ce modéle dont j’ai équipé le E500, mon boitier passe partout.
Bien entendu, ce nouveau venu peu également venir s’adapter sur mon autre boitier; le E3.
L’avantage est donc de disposer d’un ensemble, léger et polyvalent, même si bien entendu les performances ne sont pas à comparer au ED 12-60 ou ED 50-200.
Comme d’habitude chez Olympus, la construction de ce Zoom semble de trés bonne facture et on a le sentiment de disposer d’un modéle à mis chemin entre la gamme « Standard » et la gamme « Pro ».
Le EZ-1818 n’est pas tropicalisé et sa plage d’ouverture est de 3,5 à 36 mm et 6,3 à 360 mm, ce qui en fait donc un objectif trés peu lumineux.
Pour autant la qualité des clichés pris avec ce modéle reste tout a fait correcte.
Vous touverez à la suite de cet article, quelques exemples et d’autre viendront donc bientôt enrichir ma gallerie.

Vous l’aurez compris, le EZ-1818 me donne tout à fait satisfaction pour l’utilisation que j’en fait. Je le recommanderais donc à tous ceux qui souhaitent voyager léger et disposer d’un ensemble trés polyvalent.

Pour qui souhaite un test plus poussé, je recommande cet article.

J-Mi.

 

C’est l’hiver…

Cela faisait un bon moment que nous n’avions pas vécu pareil hiver, mais quel plaisir de redécouvrir ce silence, ces lumiéres, les promenades tellement uniques.
Si l’économie du pays s’en trouve diminuée, la joie de partager le souvenir de notre enfance, avec à notre tour la mémoire de nos enfants, est un instant tellement unique, qu’il mérite d’être vécu et souligné.

Ballade sous la neige et le froid sont des conditions qui mettent à rudes épreuves nos appareils photo.
C’est dans ces moments qu’on apprécie de disposer d’une tropicalisation du boitier, car du coup il n’est pas nécessaire de chercher à protéger notre cher appareil des désagréments climatiques.

La Neige / l’humidité :

Elle peut tout simplement s’infiltrer dans le boitier et/ou l’objectif et si l’un ou l’autre, ne sont pas de construction tropicalisée, l’ensemble risque de subir à court ou long terme, de graves dommages.

Le froid :

L’électronique des appareils non préparés, peut rapidement montrer ses limites et vous empécher d’immortaliser vos scénes préférées.

Les batteries voient leur autonomie diminuée.

Les cartes mémoire les plus délicates peuvent se montrer incapables de stocker vos photos.

J-Mi.

La PSP-Go vue par J-B, 8 ans.

Je voulais, moi aussi écrire un article comme mon papa.

J’aime les consoles de jeu, les ordinateurs, et j’adore la lecture.

La PSP GO

PSP2

La PSP GO c’est une PSP qui est plus lègere et plus petite que les présédentes mais les fabriquants qui en ont eu raz le bol de se faire pirater leurs titres UMD pour PSP ont donc eu l’idée de rendre téléchargeables les jeux depuis internet, grace à une mémoire de stockage intégrée dans la PSP GO.

PSP1

Les avantages

1- Plus pratique car la taille de la console est plus petite et plus compacte.

2- On ne risque pas de perdre les jeux car ces derniers se téléchargent depuis internet et sont stockés directement sur la mémoire interne de la console.

3- L’écran est de meilleure qualité (Netteté et Couleurs).

Les inconvénients

1- Ce qui est dommage, c’est que certains jeux ne sont pas téléchargeables, (Exemple: Shin Budokai etc…).

2- Il y a aussi le prix de la PSP GO à prés de 230 euro (La PSP 3000 coûte environs 190 Euros avec un Jeu).

J-B.

Ma Livebox … !§?:;,;!

Mais pourquoi ?

 

Eh oui, pourquoi avoir opté pour cette fameuse LIVEBOX ?

La réponse, vous la connaissez; je souhaitais pouvoir bénéficier du téléphone illimité et m’affranchir par la même occasion de l’abonnement France Télécom.

 Livebox

Avant cela, mon installation fonctionnait depuis 4 ans grâce à un Modem Routeur de la marque NETGEAR, en l’occurrence le DG834G.

Satisfait depuis toujours de ce modèle, il m’avait permis grâce à ses fonctions évoluées de pouvoir attribuer une IP Fixe pour chacun de mes périphériques, raccordés à ce routeur (7 au Total). J’avais également créé plusieurs règles de Pare-Feu, configuré un DYNDNS etc…

J’avais raccordé à ce routeur, un Switch Gigabit de marque DLINK, afin de pouvoir bénéficier d’un  transfert rapide de mes fichiers entre PC raccordés en Ethernet et principalement mon serveur.

 DG

Je vous avoue qu’en recevant la LIVEBOX, j’avais déjà quelques préjugés qui très rapidement, se sont avérés justifiés.

Premier Contact :

Rien à dire, la LIVEBOX Mini est agréable à l’œil et occupe peu de place sur le Bureau.

Je branche donc la LIVEBOX sur le secteur et y raccorde mon PC Principal en Ethernet.

« 192.168.1.1 » et hop me voila dans l’interface de la bête.

Je renseigne donc mon Login et Mot de passe, valide le tout et en quelques secondes, me voici raccordé à Internet. J’en profite pour mettre à jour le Firmware de la BOX d’Orange.

L’interface d’exploitation est vraiment bien réalisée et même une personne peu expérimentée, peu aisément s’y retrouver et accéder aux différents paramètres.

Un Petit tour sur la page de configuration du DHCP, afin de définir la plage d’adresse IP à utiliser, j’en profite pour modifier l’adresse Passerelle par défaut par celle qui me convient.

Je quitte l’interface de configuration et raccorde mon Switch derrière la LIVEBOX en lieu et place de mon PC principal, raccordé à présent au Switch.

J’essaye à nouveau de me connecter à l’interface de configuration de la BOX en passant par la nouvelle adresse et du coup… Rien.

Je me dis, je vais rebrancher mon PC directement au routeur, pensent que problème pouvait provenir du Switch.

Rebelotte… Rien… j’attends un moment et j’obtiens un message de la BOX, me signalant que je suis victime d’un « Plantage » de la bête et qu’il faut que je « Reboot »

Je rebranche mon Switch comme précédemment et « Reboot » donc la Boite Blanche d’ORANGE

Je tente de nouveau de me connecter à l’interface, et cette fois ça marche, donc pas de problème du côté du Switch.

Bon… premier plantage, mais ne soyons pas trop rapidement Critique.

Je retourne sur la Page de configuration DHCP, afin de définir les adresses IP Fixes, correspondant aux périphérique raccordés, j’effectue la sauvegarde, me déconnecte de l’interface et m’absente un moment.

De retour, je décide de me reconnecter à l’interface de configuration, et de nouveau… Rien… nouveau plantage et donc « Reboot » de la LIVEBOX.

Après, d’innombrables plantage, j’appel le 3900…..; pas de problème pour joindre l’assistance, le temps d’attente est vraiment très court. Un conseillé me communique un numéro, pour échange de la LIVEBOX en agence.

 

De retour avec ma nouvelle LIVEBOX, je la connecte, renseigne Login, Password et effectue une mise à jour.

Compte tenu des nombreux paramétrages que j’avais réalisé dans la première LIVEBOX, que je venais de rendre, j’avais pris la précaution, d’effectuer une sauvegarde de ces modifications, depuis l’interface (Bonne idée cette Fonction).

Je décide donc de récupérer cette sauvegarde et de la transférer dans la nouvelle BOX, mais « queneni » rien à faire, ça ne marche pas.

Je reprend tout le travail et après 1 Heure passée, tout est configuré et l’interface semble beaucoup plus stable.

 

Quelques jours plus tard, retour dans l’interface de configuration, page DHCP,… Oups… un PC a disparu. J’ai constaté ce phénomène par la suite au moins 3 fois. De même j’ai pu constaté, que la Box était capable de renommer certains des PC que j’avais déclaré, étrange donc !

Place au WIFI :

 

Aucun problème de ce côté avec la première LIVEBOX, donc pas de soucis avec cette nouvelle… non ? eh bien non.

J’allume les ordinateurs portables, me connecte au réseau, clé WPA… pas de soucis. Je redémarre le PC, et cette fois, il ne se reconnecte pas de lui même; message (La LIVEBOX ne Répond pas).

Seule solution, testée à plusieures reprises, le « Reboot » de la BOX, dés que j’éteignais le PC connecté, celui-ci ne pouvait pas se reconnecter au redémarrage. Autre effet du problème; l’impossibilité d’accéder à l’interface de configuration depuis un PC relié en Ethernet, donc… « Reboot ».

Je précise, relié en Ethernet, car il me fut impossible d’accéder à cette même interface depuis un PC connecté en Wifi, et pourtant j’ai été patient et ai essayé avec deux PC portables différents.

Ma conclusion :

La LIVEBOX comme Modem, OK! Mais rien de plus.

Plus vous lui en demanderez, plus vous risquez le plantage.

Ma solution :

Investissement dans un Routeur avec 1 port WAN, 4 ports LAN Gigabit, 1 point d’accés Wifi norme N 300; Le NETGEAR WNR3500.

Lien Netgear : « ici »

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J’utilise donc la LIVEBOX comme simple modem (Wifi désactivé, DMZ vers le Routeur, Pare-Feu au Minimum), connecté au port WAN du routeur.

La configuration est plus complexe, mais la stabilité et les performance de l’ensemble, n’ont rien à voir… chose, dont je me doutais dés le début.

Mais alors, pourquoi la LIVEBOX, n’est pas aussi fiable que le matériel vendu par les marques que sont NETGEAR, DLINK etc… ?

J’ai ma petite idée, suggérée par un collègue pour être plus précis.

A suivre lors d’un prochain POST.

J.Mi.

Voiture plaisir !

AUDI TT ou BMW Z3 ?

Difficile de choisir !

Fan de voiture depuis toujours, je rêvais depuis longtemps de pouvoir un jour m’offrir un Roadster. Pour l’anecdote, mon épouse et moi, nous sommes mariés dans un roadster Fiat Barketa. A l’époque, jeunes que nous étions, ce genre de véhicule nous semblait quasi inaccessible… mais le temps passe !

Aprés plus de 24 mois d’hésitation, mon choix c’est donc porté sur le BMW Z3. Ma raison est la suivante; dans le film « Golden Eye », lorsque ce Roadster m’est apparu, j’ai immédiatement dénoté un côté très « neo-rétro », qui explique la ligne très intemporelle de ce Cabriolet, soutenue par tous aujourd’hui, prés de 15 ans après sa sortie.

Z3 Logo

D’abord décliné en 1995 en petite motorisation 4 Cylindres 1.8L 115 et 1.9L 140 Cv, son comportement ainsi que son esthétique, ont très rapidement suffit à décider le constructeur BMW à envisager d’autres motorisations en 6 cylindres. Fort du succès de ce petit deux place, en 1998 la gamme est refondue; adoption du train arrière élargi issu du 3.0 l phase 1 et nouvelles motorisations :

Disparition du 1.8 l, au profit du 1.9 l 4 Cyl. de 118 Chevaux et surtout, apparition d’un 6 Cyl. 2,0 l de 150 Chevaux, d’un 2,2 l de 170 Chevaux, d’un 2,8 l de 192 Chevaux, d’un 3,0 l développent 230 Chevaux et enfin un 3,2 L de 321 Chevaux pour la finition M.

En 2002, BMW déplore une perte de marché de 30% sur ce segment; il est donc temps de revoir le concept et c’est en 2003, que le constructeur tente d’apporter un look un peu plus moderne à son Roadster en remplacent ce denier par le Z4. Avis personnel; l’esthétique est loin de celle qui aura fait jusqu’alors le succès du BMW Z3.

Néanmoins, cela reste un « Z », avec le meilleur du savoir faire allemand.

Z4-0

Z4-01

Moins turbulent que sont ancêtre, le Z4 ne manque pas moins d’atouts pour séduire son publique.

Seules les motorisations 6 cylindres, seront proposées jusqu’en 2005. Ce n’est qu’à partir de cette année que BMW proposera un moteur économique 4 cylindres de 150 cv.

Nous retrouvons donc un 2,2 l de 170 Chevaux, un 2,5 l de 204 Chevaux, un 3,0 l de 258 Chevaux et un 3,0 Bi-Turbo développent pas moins de 306 Chevaux.

En 2005, le constructeur sort le Z4 Phase 2. Au programme; nouvelle calandre avant, léger restyling des feux arrières et surtout nouvelle gamme de moteurs.

Remplacement du 2,2 l par un 2,5, l remplacement du 2,5 l par le 2,5 l si et remplacement du 3,0 par un nouveaux 3,0 l si.

2009 : Sortie du Z4 Phase 3. Ce dernier se rapproche d’avantage du Z3 que du Z4 premier du nom et c’est un bien ! (Avis personnel). Ses formes apparaissent plus rondes, on retrouve également un semblent d’ouïes latérales qui justement rappel le fameux Z3, bref, il est vraiment réussit.

Les motorisation proposées, restent proches des caractéristiques du Z4 phase 2.

2,5 l de 204 cv, 3,0 l de 258 cv et un 3,0 l de 306 cv.

Quelque soit le choix, admirer les routes de campagnes en Roadster est un plaisir auquel chacun devrait s’essayer au moins une fois. Sentir le vent léger et entendre les oiseaux (en 6 cyl.), du mois de mars au mois d’octobre… quel plaisir !

Si je traite ici, uniquement des modèles BMW, c’est que ces deniers sont ceux qui me font le plus « craquer », mais il existe bien d’autres modèles à partir de 3000 Euros qui permettrons à qui le souhaite de découvrir la ballade en cabriolet.

Et pour les Fans de Z, un petit lien :

Un Forum, riche d’information et des participants Super Sympats.

J-Mi.