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PORTUGAL

Un Bref résumé en attendant mieux…

Un peu plus de 17 heures de voyage, chassé / croisé d’été oblige.

Après une longue traversée d’un paysage de l’Espagne aride, nous découvrons Samedi en fin d’après-midi, tout l’opposé en franchissant la frontière du Portugal.

Des montagnes verdoyantes attirent immédiatement notre regard, distinguant ici et là de magnifiques villages disposés au milieu de celles-ci. La fin du voyage est proche !

Notre arrivée a lieu à Ribeira de Pena, accueillis pour une halte au restaurant.

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La première chose qui frappe lorsqu’on arrive au portugal, c’est le nombre de bar/restaurant au Km². Les portuguais ont cette habitude de fréquenter les bars, non pas pour consommer uniquement de l’alcool, mais d’abord et surtout pour se retrouver autour d’un café ou pour simplement regarder un match de foot.

Le nombre de personnes s’offrant le restaurant est tout aussi surprenant… et pour cause, le prix d’un repas peut descendre en dessous de la barre des 5 euros.

Outre la beauté du Pays, c’est sa population qui nous émerveille. La chaleur de leur accueil et la générosité des gens de la région de Ribeira de Pena est à l’image de ce que « Tino » notre ami et guide de circonstance, communique à notre localité.

C’est donc sous le soleil des fruits de ce pays, accompagnés de personnes formidables, que nous avons pu profiter de belles balades et de la fraicheur de ses rivières.

Ci-dessous un aperçu, de quelques photos réalisées durant ces quelques jours.

J-Mi.

 

Christophe ou la photo vue par un ancien… :)

Quand on a la chance de connaître d’autres personnes passionnées par la photo, l’échange contribue à la durée de l’apprentissage.

Voici un bel écrit : L’approche de la photo, par Christophe… « Spit….. »

 

Mes débuts en photos se sont faits en argentique bien entendu, vu mon grand âge. Mon premier reflex, un Fuji « AX multi progam » me suivait partout.

Fuji AX multi progam 2

En amateur, je consommais une « 24 poses » par semaine… et oui, il y avait un coût : 24 déclenchements par semaine, où plutôt par week-end, ridicule à notre ère du numérique où 600 photos sur une sortie au Mans reste ma moyenne.
Au temps de mon Fuji, il fallait attendre plusieurs jours pour avoir le résultat des réglages (temps de pose, ouverture, vitesse…) sur papier. A ce rythme on ne progresse pas très vite, on fait attention à notre cadrage et tout ce qui est censé nous assurer une bonne prise de vue.
Alors que penser de nos enfants qui aujourd’hui, déclenchent sans compter et arrivent à faire des choses d’une incroyable créativité, et je ne parle pas de retouche pour l’instant.
Avec l’argentique, quand vous n’avez pas de labo ; pas de retouches possibles. Ma seule source de créativité passait par le biais de filtres en tous genres; colorés, diffractor etc…
Pendant toutes ces années, peu de mes propres photos m’ont vraiment enchanté. Pour un amateur, on parle de 30% de réussite, 30% de 24 ça fait 8 bonnes photos dans le meilleur des cas. Bien souvent, c’est le sujet lui-même qui sauve la situation, si bien que mon Fuji finit par prendre plus de poussières que de clichés.

Numérique !
Jusqu’au jour où, une révolution dans la photo… Que dis-je, le mot révolution est presque trop faible. Pour moi c’est une triple révolution.
Premièrement : technique, puisque le résultat ne se fait plus attendre, mais là je n’apprendrai plus rien à personne sur ce sujet.
Deuxièmement : économique, car on ne compte plus désormais le nombre de déclenchements, c’est la liberté. Et c’est cette liberté qui nous permet tant de créativité sur tous les paramètres photographiques ; angles de prises de vues, lumières, temps de pose. C’est cette même liberté qui permet à nos enfants de photographier sans se poser de questions ; ils osent tout et font des miracles. Il ne nous reste plus qu’à leurs apprendre quelques astuces techniques, à l’inverse de l’argentique où il fallait mieux savoir avant.
Quand au troisième côté de cette révolution, c’est l’aspect plus triste de la disparition du photographe de proximité car à mon avis nous n’imprimons pas assez nos photos, après un tri… sélectif bien entendu.
Mais revenons-en à mon expérience du numérique. Je me suis laissé tenter par un bridge Olympus qui présentait une focale intéressante mais d’une lenteur…
Les avantages du numérique étaient quelque peu effacés, une visée en vidéo, mise au point avec A.F (que je n’avais pas sur mon Fuji) et un écran minuscule, je devenais aussi tributaire de la charge des piles et de l’ordi sans lequel je ne pouvais pas apprécier réellement mes photos. Le véritable avantage était la possibilité de retravailler facilement les clichés.
Difficile de faire de la photo sportive avec une bonne seconde de retard au déclenchement ! Il restait bien sûr beaucoup d’autres choses à faire, mais c’est quand même un peu frustrant tout ça, surtout quand je faisais des sorties photos avec un ami qui possède un très beau reflex « numérique bien sûr ». Donc à force de baver sur les magasines et pubs en tout genres, j’ai fini par l’avoir mon 350D et là, l’envie de tout photographier m’a repris.

Bien sûr le boitier ne fait pas tout, l’objectif est tout aussi important, peut-être même plus.
Avec ce matériel tout devient possible, « facile », on prend un tel plaisir à faire toutes sortes d’essais, de réglages, c’est la raison d’être de ce type d’appareil. Pour moi, utiliser un reflex numérique en automatique, revient à conduire une Ferrari en première !
Je me suis donc mis le nez dans les magasines et les livres pour découvrir toutes les possibilités qu’offre un tel appareil, à surfer sur les forums pour comparer mon travail et on apprend énormément de choses ainsi. On apprend aussi très vite que les limites sont imposées par le photographe lui-même car le plus important, l’élément fondamental, c’est l’œil de celui qui est derrière l’appareil, quel qu’il soit.
Voilà ma vision des choses ! Maintenant, c’est de moi dont je ne suis pas très satisfait ; après, être satisfait de soi ou non, c’est un débat un peu plus philosophique.
Il y a quand même des déclenchements heureux, dont voici quelques exemplaires.

Christophe.

 

L’auvergne et ses Volcans !

Un bien bel endroit pour mettre à contribution le matériel photo.
une fois de plus le EZ-18-180 confirme bien mais attentes.
à suivre…

L’auvergne et ses Volcans.

Nous avons eu la chance de pouvoir « profiter » d’un temps changeant, du coup les effets de lumiére étaient bien présents.
Le ciel en colére, le soleil plein Zénith et les ombres offertes par le lever et coucher du soleil.
Mais la météo, n’est rien sans un paysage adéquate. C’est là que nous découvrons les magnifiques reliefs de ce pays.

Dans l’album « Les Monts » (Echantillons de Photos), nous visitons certains points de vue du Puy des Gouttes, par temps couvert, Le Puy de dôme sous un soleil radieux, l’occasion au sommet de ce dernier (1420 métres), de saisir également de superbes clichés de pilotes pendus à leur voile.

Le relief n’est pas le seul intéret que l’on trouve à l’auvergne, certains villages, « pittoresques » m’ont donné l’occasion de laisser libre cours à mon imagination et surtout mes envies.
C’est ainsi que l’idée me prit de remonter le temps muni de mon appareil photo.
Certains extraits de l’album ci-dessous intitulé « Pierre de feu », mettent en avant une certaine vision de la région avec un oeil ancien.
– Une montée judicieuse en sensibilité ISO, afin de reproduire le grain propre à la photographie argentique d’antan.
– Sélection du rendu monochrome avec application d’un filtre jaune.
– Pour finir, un petit tour du côté de Paint Shop Pro (Derniére mouture X3), afin d’appliquer si besoin un peu d’effet de profondeur de champ sur les éléments à mettre en évidence ou encore un effet de vignetage. Ce dernier terme désigne la perte de lumiére en périphérie de l’objectif. Si aujourd’hui les meilleurs zooms, sont exempts de ce défaut, ce dernier était en revanche bien présent, du temps des débuts de la photo et caractéristique des photographies anciennes.

Comme je le citais plus haut, ce fût une nouvelle occasion de mettre à l’épreuve mon fameux EZ-18-180. Un contrat bien rempli, car une fois de plus la polyvalence de cet objectif ainsi que sa compacité me permirent de l’enmener sur les parcours où il était préférable de voyager léger tout en prenant malgré tout, de bien belles photos (La Prairie, Le Bourg, Le vieux Volcan etc…).
Certe, ce dernier ne pouvait se montrer aussi à l’aise que le ED 50-200 f2,8, lors des photos de parapentes mais tout a ces limites, pour qui souhaite un peu plus d’éxigence.
Sur ce dernier point, il est certain que je reste toujours aussi admiratif du rendu et du piqué des images que me livre ce ED 50-200.

Ce séjour fût également l’occasion de marquer l’utilisation de mon autre Boitier, le E500.
Pour rappel, ce boitier, qui date de 2005/2006, n’a pas à roujir, face aux modéles du moment.
Les 8 mégapixels (Capteur de 8,4 mp) de ce dernier accompagnés d’un objectif de qualité (ED 12-60 f2,8) conviennent sans aucun doute à la majorité des situations et permettent de trés beaux agrandissements.
Je maintiens donc cet avis de prés de 10 ans, comme quoi, avoir un beau capteur n’est rien, si le « cailloux » au travers duquel il regarde ne vaut rien (Nostalgie de mon premier A.P.N. OLYMPUS, le C920Z de 1,3 Megapixels).

 

J-Mi.

Les Monts

 

Pierre de Feu

Le Petit Oiseau.

Petite Histoire de la Photographie Numérique

 

10 ans déjà.

Les débuts de la photo numérique, sont apparus voila un peu plus de 10 ans.
Si aujourd’hui ce mode de photographie est connu de tous, il faut se souvenir qu’à l’époque, ces appareils n’occupaient qu’une place marginale dans le commerce.

On se souvient des modèles équipés à l’époque de capteurs de 360 000 Pixels mais l’intérêt pour cette technologie,  commença à prendre un vrai sens avec les premiers appareils, équipés de capteur de 800 000 et 1 300 000 Pixels (On était loin des 8, 10 ou 12 Méga-pixels que nous connaissons aujourd’hui !!!!!).

Le déclin de l’argentique.

Autant rappeler qu’à l’époque, le plus puriste des photographes, avait du mal à imaginer qu’un jour, viendrait où il remplacerait son bon vieux Reflex 24×36 Argentique par un appareil photo numérique.
Seul quelques nostalgiques et/ou professionnels, continuent d’utiliser en parallèle un appareil Argentique. Cela concerne en majeure partie les photos en Noir et Blanc, pour lesquelles les appareils numériques, ont dans certains cas du mal à imiter leurs « ancêtres ».

Du nouveau.

Contrairement à ce que prétendaient les nombreux détracteurs de la photographie numérique à l’époque, les modèles de 1 300 000 Pixels, permettaient déjà des tirages d’excellente qualité en 10/15 et certaines prises de vue pouvaient s’envisager jusqu’au format A4.
Ces appareils, ont donné lieu à une approche fondamentalement différente de la photo.
En effet, pour la première fois dans l’histoire de la photo, le photographe pouvait visualiser en instantané, ces différentes prises de vue et ainsi varier les différents réglages que permettait l’appareil.

Avec l’argentique, la majorité des utilisateurs faisaient développer leur pellicule chez le photographe du coin, sans possibilité de retoucher leurs clichés avant.
Seul les professionnels et Passionnés Experts en photo, possédaient leur labo de développement et pouvaient apporter certains effets à leurs « chefs d’œuvres ».
Avec le numérique, ici encore, tout change. Vous récupérez votre photo au format JPEG, TIFF où bien encore RAW, et à l’aide du logiciel de retouche adéquate, vous Coupez, Gommez, Corrigez la Teinte, etc… avant de décider de faire développer votre cliché.

De nos jours, les photos peuvent toujours être développées chez le photographe mais la pluparts du temps, ce sera sur une borne de supermarché ou bien encore par le biais d’internet, que nos tirages seront traités.

Les Types d’appareils, les Capteurs, les Formats.

On distingue trois catégories essentielles d’appareils.

– Les compacts, les plus répandus.

– Les bridges, à mis chemin entre le compact et le reflex, ces derniers, disposent de zooms souvent plus puissants et de fonctions plus évoluées, telles que le choix de réglages manuel ou semi-auto avec priorité à l’ouverture, à la vitesse, etc…

– Les Hybrides; les avantages d’un Reflex et ceux d’un compact réunis. Premiers modèles apparus sur le Marché équipés de la gamme d’objectif µ4/3.

– Les Reflex, de plus en plus convoités car ils permettent l’accès à des capteurs plus grands, la visée directe à travers l’objectif, à des fonctions plus évoluées ainsi qu’à une large gamme d’accessoires complémentaires (Objectifs, Flash, poignée Grip, etc…)

Les capteurs qui équipent les appareils d’aujourd’hui, sont les suivants :

CCD : Le plus rependu; ce type de capteur équipe la majorité des appareils compacts.

CMOS : Technologie qu’on retrouve sur certains Bridges et Reflex.

Live MOS : Technologie développée et mise au point par Fuji et Olympus et qui équipe les derniers Reflex de ce dernier.

Deux Format deux prise de vue se partagent le marché de la photo numérique ; le 4/3 et le 3/2 mais attention de ne pas confondre le format proportion de prise de vue et le format du capteur, car il existe en effet plusieurs formats de capteur :

Les Formats 1/2,5″, 1/1,8″, 1/1,7″, 1/1,6″ et 2/3″ sont les formats les plus répandus, car ce sont ceux qui équipent la majorité des compacts, ces derniers permettent alors de reproduire des photos au format 4/3.

Le Format 4/3 (18/14) « Four Third »  est le Format retenu par Panasonic et Olympus et qui équipe également les Reflex de cette dernière marque. Dans ce cas aussi, les photos ont effectivement un format équivalent 4/3.

Le Format DX (16×24) « APS-C »; on le retrouve sur les Reflex Amateurs et Experts du type Nikon, Canon, etc… ce dernier donne lieu à des photographies au format 3/2.

Le Format FX (24/36) « Full Frame »; on le retrouve sur les Reflex Experts et Professionnels. Ce format donnant naissance à des photos au format 3/2, est l’équivalent du 24×36 argentique et offre donc une meilleure compatibilité avec les objectifs de ce dernier type d’appareil, ainsi que et surtout, une bien meilleure qualité d’image (Pour les plus avertis).

Particularité du Format de Capteur 4/3 cher à Olympus :

Le format 4/3 a été défini par quelques industriels japonais, il y a déjà quelques temps.
– Eastman Kodak Company
– Fuji Photo Film Co., Ltd.
– Leica camera AG
– Matsushita Electric Industrial Co., Ltd.
– Sanyo Electric Co., Ltd.
– Sigma Corporation
– Olympus Imaging Corp.

D’une manière générale, ce format part du constat qu’il valait mieux mettre tout ce que l’on connaissait de la photo à plat et partir de zéro, plutôt que de simplement tenter d’adapter le matériel argentique existant (Objectifs essentiellement) à la technologie numérique.

–> Le ratio des côtés du capteur (4/3 donc comme sur les compacts alors que les reflex des autres marques sont en 3/2, format hérité du 24×36)

–> La baïonnette (plus petite puisque le capteur est plus petit que les capteurs de taille APS (Voir Tableau ci-dessus).

–> Des objectifs spécifiquement conçus pour la photo numérique. En version courte, l’angle d’incidence des rayons de lumière sur un film négatif, n’affecte pas la qualité de la photo. Par contre un capteur constitué de millions photosites, attend des rayons perpendiculaires à sa surface. Si avec un téléobjectif classique d’origine argentique, cela ne pose pas de problème, il n’en va pas de même avec un grand angle.
Cela permet de mieux comprendre les problèmes qu’ont les capteurs 24×36 travaillants avec des grands angles de seconde qualité et qui donnent lieu à des bords de photos très altérés.
Contrairement à l’autre solution retenue par certains fabricants, le format 4/3 correspond à la conception d’objectifs qui autorisent, quelle que soit la focale, que les rayons arrivent en position perpendiculaire sur le capteur.

Autre Source : http://www.olympus.fr/consumer/dslr_7045.htm
En Finale.

L’avènement de la Photo Numérique, aura permis et permet toujours à beaucoup de personnes de s’ouvrir à cette passion qu’est la Photographie, en rendent cette dernière beaucoup plus accessible.
Imaginez réaliser des essais avec différents réglages iso, ouverture, vitesse avec un appareil argentique !! J’en connais plus d’un que cela découragerait, alors qu’avec le Numérique……….

J-Mi.

 

 

David… un Moment d’égarement Photo… ;)

David a découvert la photo numérique en 2002, aprés l’acquisition de son premier appareil photo numérique, l’olympus C920Z.
Il fait partie de ces personnes, qui ne veulent pas s’encombrer d’une tonne de fonctions sur leur appareil… il faut aller droit au but… être efficace, réglage au Maximum de l’ISO, et de l’ouverture et appuyer sur le bouton pour prendre le cliché.
Il fonctionne à l’intinct et photographie ce qui l’inspire.
On dit souvent que l’appareil ne fait pas le photographe et les photos qui suivent illustrent parfaitement cela… seul le talent parle.
Le résultat est sans appel et j’aimerais bien être celui à avoir réussit de si beaux clichés.

Merci David pour ces magnifiques photos.

J-Mi.

Bord de mer.

Olympus E420 avec son objectif de base, le 14/42.

Concert.

Olympus E420 avec son objectif « télé », le 45/150.

EZ18-18 Un nouveau « Cailloux » pour la Photo !

La plus part des amateurs en photographie, s’équipent souvent de deux objectifs; un qui permet des prises de vues en grand angle et un second permettant de viser loin.
Ainsi on retrouve chez Olympus dans la gamme d’objectifs « Standard », le ED 14-42 (Equivalent 28-84mm) et le ED 40-150 (Equivalent 80-300mm). Ces deux ojectifs sont trés souvent proposés en kit lors de l’achat d’un boitier.
Seulement voila, il arrive parfois que certaines sorties en extérieur ne permettent pas de s’encombrer des deux objectifs dans le sac, sans compter le risque que l’on prend lors de l’échange de Zoom, dans de mauvaises conditions.
Il existe donc aussi chez tous les fabricants, une gamme d’objectifs appelés « Transtandard » qui autorise donc à la fois la prise de photos en grand angle « moyen » et en télé-objectif.
Chez Olympus, le EZ-1818 situé dans la gamme d’objectif « Standart », permet une plage de zoom allant de 18 à 180 mm (Equivalent 36-360 mm).

C’est donc de ce modéle dont j’ai équipé le E500, mon boitier passe partout.
Bien entendu, ce nouveau venu peu également venir s’adapter sur mon autre boitier; le E3.
L’avantage est donc de disposer d’un ensemble, léger et polyvalent, même si bien entendu les performances ne sont pas à comparer au ED 12-60 ou ED 50-200.
Comme d’habitude chez Olympus, la construction de ce Zoom semble de trés bonne facture et on a le sentiment de disposer d’un modéle à mis chemin entre la gamme « Standard » et la gamme « Pro ».
Le EZ-1818 n’est pas tropicalisé et sa plage d’ouverture est de 3,5 à 36 mm et 6,3 à 360 mm, ce qui en fait donc un objectif trés peu lumineux.
Pour autant la qualité des clichés pris avec ce modéle reste tout a fait correcte.
Vous touverez à la suite de cet article, quelques exemples et d’autre viendront donc bientôt enrichir ma gallerie.

Vous l’aurez compris, le EZ-1818 me donne tout à fait satisfaction pour l’utilisation que j’en fait. Je le recommanderais donc à tous ceux qui souhaitent voyager léger et disposer d’un ensemble trés polyvalent.

Pour qui souhaite un test plus poussé, je recommande cet article.

J-Mi.

 

C’est l’hiver…

Cela faisait un bon moment que nous n’avions pas vécu pareil hiver, mais quel plaisir de redécouvrir ce silence, ces lumiéres, les promenades tellement uniques.
Si l’économie du pays s’en trouve diminuée, la joie de partager le souvenir de notre enfance, avec à notre tour la mémoire de nos enfants, est un instant tellement unique, qu’il mérite d’être vécu et souligné.

Ballade sous la neige et le froid sont des conditions qui mettent à rudes épreuves nos appareils photo.
C’est dans ces moments qu’on apprécie de disposer d’une tropicalisation du boitier, car du coup il n’est pas nécessaire de chercher à protéger notre cher appareil des désagréments climatiques.

La Neige / l’humidité :

Elle peut tout simplement s’infiltrer dans le boitier et/ou l’objectif et si l’un ou l’autre, ne sont pas de construction tropicalisée, l’ensemble risque de subir à court ou long terme, de graves dommages.

Le froid :

L’électronique des appareils non préparés, peut rapidement montrer ses limites et vous empécher d’immortaliser vos scénes préférées.

Les batteries voient leur autonomie diminuée.

Les cartes mémoire les plus délicates peuvent se montrer incapables de stocker vos photos.

J-Mi.